Akoéba se marie avec Komlangan en grandes fastes et s’acquitte honorablement de sa place de dernière et jeune femme. Cohabitent dans la maison les autres femmes de Komlangan avec leurs enfants et son frère Mawoulawoé et son épouse. Mawoulawoé n’est pas le frère de sang de Komlangan, il était un jeune esclave quand le père de Komlangan l’a acheté. Il vécut de la même façon que son « frère », mais à la mort du père les revendications de Mawoulawoé indisposèrent Komlangan qui lui opposa un refus. Akoéba et Mawoulawoé s’aimèrent, découverts ils n’hésitèrent pas à éliminer les gêneurs, il fallait que l’honneur fut sauf. Le remord alors les fit se haïr, mais un fruit était né et Akoéba, veuve ne su résister à l’homme, devenu à son tour le « maître ». Le fils ainé de la première femme de Komlangan Victor revient après plusieurs années d’absence et prend possession de l’héritage qui lui revient, après avoir eu connaissance des évènements tragiques qui ont bouleversé la maison et de la responsabilité de Mawoulawoé « son oncle ».
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